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Portrait

ELFRIED DUPUY-CHABIN

MON ENGAGEMENT AU SERVICE DE VOS INTÉRÊTS

Je suis Elfried Dupuy-Chabin, avocat libéral au Barreau de Toulouse depuis janvier 2014. Avant cela, mon parcours fut jalonné par une multitude d’expériences professionnelles et familiales. Celles-ci m’ont permis de saisir toutes les dimensions de mon engagement. À l’origine, je ne me destinais pas à embrasser la profession d’avocat. J’ignore si je l’ai choisie ou si c’est elle qui m’a trouvée. Une chose est sûre aujourd’hui : je suis à ma place.

Mon engagement auprès de mes clients est total. J’interviens en droit routier, en droit pénal et en droit de la famille. Mon choix pour ces matières juridiques spécifiques est intimement lié à mes aspirations, à l’opportunité de prendre en charge des missions dans des domaines de droits humains qui me tiennent à cœur. Chacune dispose de ses propres singularités. Celles-ci m’encouragent à toujours aller au bout, à vos côtés.

Pourquoi suis-je devenue avocat ?

Je pourrais vous parler pendant des heures des séries, livres et films policiers que je dévorais quand j’étais plus jeune. Et encore aujourd’hui. Je pourrais également partager avec vous ces affaires ayant défrayé la chronique et qui m’ont profondément émue. Par exemple, l’affaire Estelle Mouzin, à laquelle je m’étais un peu identifiée. Nous avions presque le même âge au moment de sa disparition.

Il y eut aussi celle de Madeleine McCain, une affaire toujours non-élucidée à ce jour. Ainsi que les actes terribles perpétrés par Michel Fourniret. Au contact de ces évènements tragiques, mon souhait d’action et d’enquête de terrain grandissait. C’est pourquoi je m’inscrivis dès la licence puis en Master 1 pour devenir commissaire de police. Quelques temps après, je réalisai que ce métier n’était pas fait pour moi.

Je suis un avocat libéral parce que je suis indépendante

Cette indépendance va de pair avec une volonté perpétuelle d’autonomie. Deux traits forts de ma personnalité qui ne collaient pas vraiment avec la hiérarchie, le cadre et les règles inhérents à la fonction de commissaire de police. Dès lors, j’ai précisé l’orientation de mon parcours supérieur pour devenir avocat. Et ce, alors que ma sœur était justement en train de passer l’examen d’entrée à l’École des avocats. Cela conforta ma décision.

Ma formation, mes expériences

Je suis titulaire d’un Master 2 en Droit des Personnes et de la Famille, ainsi que d’un Master 1 en Sciences Criminelles et Carrières Judiciaires. J’ai obtenu ces diplômes à l’Université de Toulouse I Capitole. Après avoir intégré l’École toulousaine des Avocats Sud-Ouest Pyrénées, j’ai obtenu le Certificat d’Aptitude à la Profession d’Avocats (CAPA). Pour finalement prêter serment en décembre 2013.

Par la suite, j’ai collaboré avec de grands cabinets d’avocats toulousains. En parallèle, je fus juriste au sein de l’association de consommateurs UFC-Que Choisir. Par conséquent, je dispose d’une expérience pratique du contentieux relevant du droit de la consommation. Je suis aussi membre de l’Association des Droits des Étrangers (ADE), ce qui permet de mettre mon expertise au service des contentieux dotés d’une autre dimension humaine.

Ma rencontre avec le droit pénal routier

C’est à la suite de ma toute première permanence en garde à vue que j’appris à appréhender tous les tenants et les aboutissants du droit pénal routier. J’avais grillé un radar aux feux, à la sortie du commissariat, avec le véhicule de mon conjoint ! Dès lors, son permis de conduire était visé par un retrait de 4 points. Déjà à l’époque, il faisait beaucoup de kilomètres pour son travail. Le temps que nous recevions l’information quant à sa perte de points, nous réalisâmes qu’il était à deux doigts de perdre son permis !

Je me suis donc lancée dans des recherches. Mon objectif : sauver son permis. De là est née ma passion pour le droit pénal routier. Un droit très technique, peu connu et pour lequel il n’existe que très peu de documentation. Résultat : après deux ans de procédure, je réussis ma mission. De plus, grâce à cette expérience, je fis la connaissance de l’association des Avocats Français En Droit Routier (AFEDR). J’en suis membre depuis 2016 et secrétaire depuis octobre 2021.

Mes engagements au-delà de mon expertise

En prenant le temps de regarder le chemin parcouru, je réalise toute sa cohérence avec l’avocat que je suis devenue. Les imprévus de mon métier sont ce qui nourrit ma motivation au quotidien. Parce que j’ai appris à considérer toute sa réalité, je sais gérer les conséquences complexes qui peuvent survenir à la suite de toute affaire que je traite. Je m’investis, en quête de réponses.

Distinguer le pourquoi du comment, comprendre les conditions ainsi que les raisons expliquant le fait qu’une affaire en arrive à ce stade. Considérer l’être humain derrière un chef d’accusation pour déterminer une personnalité. Puis faire en sorte, quand cela est possible, qu’il puisse un jour s’intégrer à nouveau à la société. Mon engagement est au service de vos intérêts et va au-delà de mon expertise. Pour bâtir, ensemble, une relation de confiance pérenne.

PORTRAIT

ELFRIED DUPUY-CHABIN

MON ENGAGEMENT AU SERVICE DE VOS INTÉRÊTS

Je suis Elfried Dupuy-Chabin, avocat libéral au Barreau de Toulouse depuis janvier 2014. Avant cela, mon parcours fut jalonné par une multitude d’expériences professionnelles et familiales.

Ces expériences m’ont permis de saisir toutes les dimensions de mon engagement. À l’origine, je ne me destinais pas à embrasser la profession d’avocat. J’ignore si je l’ai choisie ou si c’est elle qui m’a trouvée. Une chose est sûre aujourd’hui : je suis à ma place.

Mon engagement auprès de mes clients est total. J’interviens en droit routier, en droit pénal et en droit de la famille. Mon choix pour ces matières juridiques spécifiques est intimement lié à mes aspirations, à l’opportunité de prendre en charge des missions dans des domaines de droits humains qui me tiennent à cœur. Chacune dispose de ses propres singularités. Celles-ci m’encouragent à toujours aller au bout, à vos côtés.

Pourquoi suis-je devenue avocat ?

Je pourrais vous parler pendant des heures des séries, livres et films policiers que je dévorais quand j’étais plus jeune. Et encore aujourd’hui. Je pourrais également partager avec vous ces affaires ayant défrayé la chronique et qui m’ont profondément émue. Par exemple, l’affaire Estelle Mouzin, à laquelle je m’étais un peu identifiée. Nous avions presque le même âge au moment de sa disparition.

Il y eut aussi celle de Madeleine McCain, une affaire toujours non-élucidée à ce jour. Ainsi que les actes terribles perpétrés par Michel Fourniret. Au contact de ces évènements tragiques, mon souhait d’action et d’enquête de terrain grandissait. C’est pourquoi je m’inscrivis dès la licence puis en Master 1 pour devenir commissaire de police. Quelques temps après, je réalisai que ce métier n’était pas fait pour moi.

Je suis un avocat libéral parce que je suis indépendante

Cette indépendance va de pair avec une volonté perpétuelle d’autonomie. Deux traits forts de ma personnalité qui ne collaient pas vraiment avec la hiérarchie, le cadre et les règles inhérents à la fonction de commissaire de police. Dès lors, j’ai précisé l’orientation de mon parcours supérieur pour devenir avocat. Et ce, alors que ma sœur était justement en train de passer l’examen d’entrée à l’École des avocats. Cela conforta ma décision.

Ma formation, mes expériences

Je suis titulaire d’un Master 2 en Droit des Personnes et de la Famille, ainsi que d’un Master 1 en Sciences Criminelles et Carrières Judiciaires. J’ai obtenu ces diplômes à l’Université de Toulouse I Capitole. Après avoir intégré l’École toulousaine des Avocats Sud-Ouest Pyrénées, j’ai obtenu le Certificat d’Aptitude à la Profession d’Avocats (CAPA). Pour finalement prêter serment en décembre 2013.

Par la suite, j’ai collaboré avec de grands cabinets d’avocats toulousains. En parallèle, je fus juriste au sein de l’association de consommateurs UFC-Que Choisir. Par conséquent, je dispose d’une expérience pratique du contentieux relevant du droit de la consommation. Je suis aussi membre de l’Association des Droits des Étrangers (ADE), ce qui permet de mettre mon expertise au service des contentieux dotés d’une autre dimension humaine.

Ma rencontre avec le droit pénal routier

C’est à la suite de ma toute première permanence en garde à vue que j’appris à appréhender tous les tenants et les aboutissants du droit pénal routier. J’avais grillé un radar aux feux, à la sortie du commissariat, avec le véhicule de mon conjoint ! Dès lors, son permis de conduire était visé par un retrait de 4 points. Déjà à l’époque, il faisait beaucoup de kilomètres pour son travail. Le temps que nous recevions l’information quant à sa perte de points, nous réalisâmes qu’il était à deux doigts de perdre son permis !

Je me suis donc lancée dans des recherches. Mon objectif : sauver son permis. De là est née ma passion pour le droit pénal routier. Un droit très technique, peu connu et pour lequel il n’existe que très peu de documentation. Résultat : après deux ans de procédure, je réussis ma mission. De plus, grâce à cette expérience, je fis la connaissance de l’association des Avocats Français En Droit Routier (AFEDR). J’en suis membre depuis 2016 et secrétaire depuis octobre 2021.

Mes engagements au-delà de mon expertise

En prenant le temps de regarder le chemin parcouru, je réalise toute sa cohérence avec l’avocat que je suis devenue. Les imprévus de mon métier sont ce qui nourrit ma motivation au quotidien. Parce que j’ai appris à considérer toute sa réalité, je sais gérer les conséquences complexes qui peuvent survenir à la suite de toute affaire que je traite. Je m’investis, en quête de réponses.

Distinguer le pourquoi du comment, comprendre les conditions ainsi que les raisons expliquant le fait qu’une affaire en arrive à ce stade. Considérer l’être humain derrière un chef d’accusation pour déterminer une personnalité. Puis faire en sorte, quand cela est possible, qu’il puisse un jour s’intégrer à nouveau à la société. Mon engagement est au service de vos intérêts et va au-delà de mon expertise. Pour bâtir, ensemble, une relation de confiance pérenne.

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ELFRIED DUPUY-CHABIN

MON ENGAGEMENT AU SERVICE DE VOS INTÉRÊTS

Je suis Elfried Dupuy-Chabin, avocat libéral au Barreau de Toulouse depuis janvier 2014. Avant cela, mon parcours fut jalonné par une multitude d’expériences professionnelles et familiales. Celles-ci m’ont permis de saisir toutes les dimensions de mon engagement. À l’origine, je ne me destinais pas à embrasser la profession d’avocat. J’ignore si je l’ai choisie ou si c’est elle qui m’a trouvée. Une chose est sûre aujourd’hui : je suis à ma place.

Mon engagement auprès de mes clients est total. J’interviens en droit routier, en droit pénal et en droit de la famille. Mon choix pour ces matières juridiques spécifiques est intimement lié à mes aspirations, à l’opportunité de prendre en charge des missions dans des domaines de droits humains qui me tiennent à cœur. Chacune dispose de ses propres singularités. Celles-ci m’encouragent à toujours aller au bout, à vos côtés.

Pourquoi suis-je devenue avocat ?

Je pourrais vous parler pendant des heures des séries, livres et films policiers que je dévorais quand j’étais plus jeune. Et encore aujourd’hui. Je pourrais également partager avec vous ces affaires ayant défrayé la chronique et qui m’ont profondément émue. Par exemple, l’affaire Estelle Mouzin, à laquelle je m’étais un peu identifiée. Nous avions presque le même âge au moment de sa disparition.

Il y eut aussi celle de Madeleine McCain, une affaire toujours non-élucidée à ce jour. Ainsi que les actes terribles perpétrés par Michel Fourniret. Au contact de ces évènements tragiques, mon souhait d’action et d’enquête de terrain grandissait. C’est pourquoi je m’inscrivis dès la licence puis en Master 1 pour devenir commissaire de police. Quelques temps après, je réalisai que ce métier n’était pas fait pour moi.

Je suis un avocat libéral parce que je suis indépendante

Cette indépendance va de pair avec une volonté perpétuelle d’autonomie. Deux traits forts de ma personnalité qui ne collaient pas vraiment avec la hiérarchie, le cadre et les règles inhérents à la fonction de commissaire de police. Dès lors, j’ai précisé l’orientation de mon parcours supérieur pour devenir avocat. Et ce, alors que ma sœur était justement en train de passer l’examen d’entrée à l’École des avocats. Cela conforta ma décision.

Ma formation, mes expériences

Je suis titulaire d’un Master 2 en Droit des Personnes et de la Famille, ainsi que d’un Master 1 en Sciences Criminelles et Carrières Judiciaires. J’ai obtenu ces diplômes à l’Université de Toulouse I Capitole. Après avoir intégré l’École toulousaine des Avocats Sud-Ouest Pyrénées, j’ai obtenu le Certificat d’Aptitude à la Profession d’Avocats (CAPA). Pour finalement prêter serment en décembre 2013.

Par la suite, j’ai collaboré avec de grands cabinets d’avocats toulousains. En parallèle, je fus juriste au sein de l’association de consommateurs UFC-Que Choisir. Par conséquent, je dispose d’une expérience pratique du contentieux relevant du droit de la consommation. Je suis aussi membre de l’Association des Droits des Étrangers (ADE), ce qui permet de mettre mon expertise au service des contentieux dotés d’une autre dimension humaine.

Ma rencontre avec le droit pénal routier

C’est à la suite de ma toute première permanence en garde à vue que j’appris à appréhender tous les tenants et les aboutissants du droit pénal routier. J’avais grillé un radar aux feux, à la sortie du commissariat, avec le véhicule de mon conjoint ! Dès lors, son permis de conduire était visé par un retrait de 4 points. Déjà à l’époque, il faisait beaucoup de kilomètres pour son travail. Le temps que nous recevions l’information quant à sa perte de points, nous réalisâmes qu’il était à deux doigts de perdre son permis !

Je me suis donc lancée dans des recherches. Mon objectif : sauver son permis. De là est née ma passion pour le droit pénal routier. Un droit très technique, peu connu et pour lequel il n’existe que très peu de documentation. Résultat : après deux ans de procédure, je réussis ma mission. De plus, grâce à cette expérience, je fis la connaissance de l’association des Avocats Français En Droit Routier (AFEDR). J’en suis membre depuis 2016 et secrétaire depuis octobre 2021.

Mes engagements au-delà de mon expertise

En prenant le temps de regarder le chemin parcouru, je réalise toute sa cohérence avec l’avocat que je suis devenue. Les imprévus de mon métier sont ce qui nourrit ma motivation au quotidien. Parce que j’ai appris à considérer toute sa réalité, je sais gérer les conséquences complexes qui peuvent survenir à la suite de toute affaire que je traite. Je m’investis, en quête de réponses.

Distinguer le pourquoi du comment, comprendre les conditions ainsi que les raisons expliquant le fait qu’une affaire en arrive à ce stade. Considérer l’être humain derrière un chef d’accusation pour déterminer une personnalité. Puis faire en sorte, quand cela est possible, qu’il puisse un jour s’intégrer à nouveau à la société. Mon engagement est au service de vos intérêts et va au-delà de mon expertise. Pour bâtir, ensemble, une relation de confiance pérenne.